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Lorsque l’on parle de métiers en tension, c’est-à-dire les métiers dont les offres d’emploi ne sont pas pourvues, on pense spontanément aux secteurs de l’industrie, du bâtiment, de la restauration… Mais d’autres filières plus récentes sont dorénavant concernées, comme l’informatique et le numérique. C’est pour répondre à ce besoin que la CCI Tarn vient de créer l'École Supérieure du Numérique du Tarn.

Numérique, une croissance tout sauf virtuelle L’Occitanie concentre de nombreux centres de décision relevant des secteurs numériques. Même si la majorité des emplois de l’économie numérique dépendent d’entreprises situées hors du territoire régional, l’émergence de cette économie en forte croissance « génère des changements fondamentaux », selon l’Insee qui vient de rendre publique dans son bulletin « Analyses », une étude bouclée fin 2018.

En dépit de la proximité de l’Espagne, mais grâce à un climat adapté à la précocité des productions qu’exigent ces marchés, la région Occitanie -première région agricole française- se classe 4e région maraîchère et 6e région horticole de France. Filières à forte valeur ajoutée, maraichage et horticulture ont un poids économique important en Occitanie même si ces spécialités ne concernent qu’un peu plus de 7 % des exploitations.

Un décret publié le 22 août dernier précise les modalités de calcul de l'indemnité versée au salarié en mi-temps thérapeutique.

Sirius*, la première et unique chaire d’entreprise dédiée au droit et au management du secteur spatial est fort logiquement née à Toulouse, la capitale spatiale européenne. Elle lie depuis 2013 des opérateurs majeurs de ce secteur, Airbus Defence and Space, Thales Alenia Space, le CNES et deux établissements d’enseignement supérieur, l‘université Toulouse Capitole et la Toulouse Business School. Un partenariat public-privé très pointu et en constant développement, qui a été reconduit -au moins- jusqu’en 2022.

Implanté dans le centre historique de Figeac, Lo & Li, agence de création digitale et premier Learning Lab du Lot, vient de recevoir le prix coup de cœur des Trophées de l’économie numérique. Organisé par la Mêlée Numérique et la CCI Occitanie, cette récompense est un vrai coup de pouce pour Lo & Li, qui place l’innovation au cœur du terroir.

Créée par des producteurs de fruits et légumes en 2013, pour valoriser leur production hors calibre, en raison d’une taille ou d’un aspect inadaptés, l’entreprise catalane s’agrandit et fait rentrer le distributeur Alterfood à son capital.

Start-Up innovante en bio-informatique basée à Montpellier, SeqOne démocratise l’accès aux tests génomiques. La jeune société vient de lever 3 M€ pour accélérer le développement de sa plateforme d’analyse et d’interprétation des données issues du séquençage du génome et en promouvoir l’accès auprès des établissements hospitaliers et des laboratoires de biologie médicale.

Des douze régions présentes à la 53e édition du Salon du Bourget, en juin dernier, le pavillon Aerospace Valley était le plus vaste. Il accueillait plus de 80 entreprises d’Occitanie, auxquelles s’ajoutaient les grandes écoles et les centres de recherche parmi lesquels, l’Onera, acteur incontournable du paysage régional de l’aérospatial.

Leader des yaourts bio pour les grands distributeurs, le Toulousain Yéo frais n’en finit pas d’innover. L’an dernier, la PME a lancé « YOgourmand », sa propre gamme de produits laitiers dans les GMS. Elle vient de l’enrichir de yaourts et d’une crème épaisse bio, 100 % made in Occitanie.

Porté par plus de 200 partenaires publics et privés, ANITI – Artificial and Natural Intelligence Toulouse Institute – vient d’obtenir son Institut Interdisciplinaire de l’Intelligence Artificielle ou 3IA. Une reconnaissance aux retombées considérables pour notre région. Et qui place Toulouse au cœur d’une révolution scientifique et économique sans précédent.

D’une part, le taux de natalité diminue légèrement, d’autre part, l’espérance de vie s’accroît : le sommet de la pyramide des âges s’élargit. En d’autres termes, les « seniors » sont de plus en plus nombreux en France, et l’Occitanie n’échappe pas à ce constat. Dès l’année prochaine, la région comptera plus de seniors que de jeunes de moins de 19 ans. Parce que l’économie doit accompagner ce mouvement, un cluster est en cours de création.